Coup de coeur, rencontre marquante, anecdote de festivalier : tous les jours, la Rédac’ AlloCiné partage son vécu du 72e Festival de Cannes.
Maximilien Pierrette (@maxp26)
“Jim Jarmusch et Adam Driver, ça ne sera pas pour cette fois. Mais je les aurais un jour, comme disait l’autre, et les interviews de The Dead Don’t Die m’ont donné l’occasion de rencontrer Bill Murray et Tilda Swinton : un acteur qui a accompagné mon enfance, et une actrice qui me fascine depuis plusieurs années avec sa capacité à se transformer d’un rôle à l’autre. Autant dire que tu n’en mènes pas très large lorsque tu rentres dans la salle… et puis tu oublies très vite car tout se passe bien. Très bien même, avec une imitation de zombie signée Bill Murray et une jolie photo souvenir avec les deux comédiens : ‘Venez vous asseoir entre nous deux’, me dit alors Tilda Swinton. Avec plaisir. Ce festival commence décidément bien.”
#Cannes2019 : premières interviews du festival ! Des rencontres à réveiller les morts ☠️ #TheDeadDontDie pic.twitter.com/xGsY5a94Kd
— ⭐️⭐️ Maximilien PIERRETTE (@maxp26) 14 mai 2019
Emilie Schneider (@emilie_sch)
“Ça y est, c’est parti pour le Festival de Cannes, 72e édition mais le premier pour ma part. Mon état d’esprit en ce premier jour ? A la fois impatiente de découvrir les coulisses du plus grand festival de cinéma du monde et intimidée face à l’énorme machine que cela représente. J’entre dans le grand bain avec la conférence de presse du jury à laquelle j’accède de justesse après avoir fait la queue au milieu d’une foule de journalistes qui, comme moi, croisent les doigts pour pouvoir entrer. Quelques heures auparavant, c’est l’installation du tapis rouge qui suscite l’engouement des journalistes et des badauds. Voir l’agitation autour d’un simple tapis est une bonne manière de prendre du recul et de se rappeler que tout ceci, au fond, ça n’est que du cinéma.”
#Cannes2019 Au taquet pour la pose du tapis pic.twitter.com/u6eitApsq8
— John Loque (@emilie_sch) 14 mai 2019
Yoann Sardet (@SardetY)
“Huit ans après, retrouvailles avec un Festival de Cannes à la fois familier (les smokings et robes de soirée, les “chercheurs d’invitations”, le gang des escabeaux près des marches) et moins innocent que par le passé. Les mesures de sécurité sont désormais drastiques, les policiers et militaires sont au moins aussi nombreux que les starlettes, les cordons de sécurité se sont multipliés, l’accès aux abords du Palais est beaucoup plus difficile que par le passé, et l’ambiance, de fait, s’en ressent un peu. On repense avec nostalgie à la venue de U2 en 2007, et de son mini-concert en haut des marches qui fit vibrer la ville pour le 60e Festival. L’époque a changé, mais notre passion pour le cinéma (et pour Cannes) non. Hâte de voir ce que cette quinzaine nous réserve, avec une soirée d’ores et déjà réservée pour fêter les 25 ans de La Cité de la Peur. ‘Vive le Cinema’, comme dirait Quentin.”
“Aréoport de Cannes, Aréoport de Cannes, 2 minutes d’arrêt”. #Cannes2019 #LaCiteDeLaPeur pic.twitter.com/fsQe8mn9Nw
— Yoann Sardet (@SardetY) 14 mai 2019
Laetitia Forhan (@LaetiFo)
“A peine sortie du train, direction le ponton du Carlton pour le tapis rouge d’Angry Birds : Copains comme cochons ! Le Festival n’a pas encore officiellement débuté mais on est déjà dans l’ambiance. Catapulte géante, oiseaux, cochons, mer, tout est là. On se croirait en plein jeu ! Les interviews se font sur la plage, au soleil et les stars du film (les oiseaux Red et Chuck) agitent leurs plumes devant nous. C’est fou, c’est Cannes.”
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Angry Birds 2 : les oiseaux et les cochons à Cannes