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Letizia d’Espagne : Femme fatale avec son look rock et cuir à ARCOmadrid

En cas de polémique, il est toujours bon d’avoir une Letizia à ses côtés pour faire diversion. Ou plutôt… attraction serait un terme plus approprié. Experte en matière de looks marquants dans les grandes occasions, la femme du roi Felipe VI d’Espagne a éclaboussé la visite d’Etat du président péruvien de ses différentes facettes, les 27 et 28 février 2019, éclipsant même un début de controverse lors de l’inauguration du grand Salon international d’art contemporain madrilène, ARCOmadrid, dont l’édition 2019 mettait le Pérou à l’honneur.

Gravure royale tout droit sortie d’un conte de fées un soir, femme fatale en cuir le lendemain : la reine Letizia d’Espagne a réalisé à l’occasion de la venue dans le pays du président Martin Alberto Vizcarra Cornejo une remarquable démonstration. Quelques heures après avoir subjugué les observateurs, vêtue lors d’un dîner de gala de la robe Felipe Varela qu’elle portait huit ans plus tôt au mariage du prince William et de Kate Middleton, l’épouse du souverain faisait sensation le 28 février dans un registre beaucoup plus rock pour le vernissage en grande pompe d’ARCOmadrid. Robe en cuir de la marque suédoise & Other Stories (une marque du groupe H&M que la duchesse Meghan de Sussex a notamment portée au début de sa grossesse) et queue-de-cheval, une coiffure pour laquelle elle n’opte que très rarement, lui conféraient une allure résolument rebelle, que complétaient un sac à main Uterqüe et une paire d’escarpins nude Prada.

De quoi détourner tous les regards du monumental “ninot” du roi Felipe VI, une sorte de poupée aux airs enfantins de pas moins de 4m45 de haut, présentée lors de la manifestation. Un sacré coup de pub pour le rendez-vous ! Emblématique des fallas, fêtes traditionnelles au mois de mars de la communauté valencienne avec parade de chars surmontés de telles figurines, elle est l’oeuvre d’un duo d’artistes – Santiago Sierra et Eugenia Merino – qui ont déjà fait parler d’eux lors de précédentes éditions du salon, le premier pour avoir présenté en 2018 une série de photographies baptisée “Prisonniers politiques dans l’Espagne contemporaine”, qui avait été retirée, et la seconde pour une sculpture de Franco dans un réfrigérateur, en 2012. Là où le bât blesse, c’est que le ninot empruntant les traits de Felipe, qui a coûté la bagatelle de 200 000 euros, est condamné à brûler, selon la coutume des fallas… L’itinéraire du roi et de la reine, quoi qu’il en soit, évitait soigneusement de passer devant cette statue polémique que la galeriste italienne Ida Pisani, qui l’expose, prend soin d’asperger régulièrement du parfum que porte supposément le monarque.

Maribel forfait, Letizia seule en première ligne au second dîner

Le couple royal espagnol avait fait son entrée à l’Ifema – le grand centre de congrès et d’expositions de la capitale – vers 11 heures avec son invité Martin Alberto Vizcarra Cornejo, qui n’était quant à lui pas accompagné par son épouse. Ensemble, ils ont pu découvrir en avant-première, avant les quelque 100 000 visiteurs attendus lors du salon, les vingt-trois artistes péruviens exposés au sein de quinze galeries (parmi les 203, au total, représentant trente-et-un pays).

Le soir venu, Maribel Díaz Cabello, première dame du Pérou, brillait à nouveau par son absence : indisposée, elle était excusée pour le dîner d’au revoir offert cette fois par son époux en l’honneur de ses hôtes, où Letizia se signalait cette fois dans une robe étoilée Nina Ricci. Un événement auquel prenaient part de prestigieux convives, à l’image de l’écrivain péruvien Mario Vargas Llosa, avec sa compagne Isabelle Preysler (ex-femme de Julio Iglesias et mère de ses enfants Enrique, Julio et Chabeli), mais aussi de la belle Alessandra de Osma, dite Sassa, épouse du prince Christian de Hanovre, venue avec son mari ainsi que ses parents, qui font partie de la haute société au Pérou.

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