Uncategorized

Carla Bruni-Sarkozy: « Je travaille tous les jours entre 22h et 2h »

Alors qu’elle s’apprête à sillonner les routes pour chanter sur scène son quatrième album Little French Songs, Carla Bruni, a accordé une longue interview au site belge 7 sur 7 pour parler de son état d’esprit du moment.

Quand elle était première dame, Carla Bruni accordait des interviews au compte-goutte. Pour les besoins de la promotion de sa prochaine tournée, elle va être amenée à rencontrer beaucoup plus fréquemment des journalistes. L’occasion d’en savoir plus sur son mode de vie. «Je travaille tous les jours le soir, quand toute la famille dort, de 22 h à 2 h disons, explique-t-elle ainsi à nos confrères de 7 sur 7. Autant vous dire que je ne suis pas la reine du matin.»

Inséparable de sa petite Giulia depuis sa naissance il y a bientôt deux ans, Carla ne semble pas redouter le fait d’être séparée d’elle avec sa tournée. «Ce n’est que pour des périodes de trois ou quatre jours maximum, nuance-t-elle. Et je l’emmènerai. Pas partout mais quand c’est cohérent, qu’il n’y a pas trop de mouvement. A cet âge-là, c’est encore possible: elle n’est pas encore à polytechnique.»

Fashion-week new-yorkaise oblige, Carla Bruni-Sarkozy a aussi parlé du métier qu’il l’a révélé: le mannequinat et de la minceur qui le caractérise. «Quand on est mannequin, la minceur est quand même vaguement requise parce que le vêtement tombe mieux, il faut des formats identiques: on ne met pas une grande fille puis une petite, explique-t-elle. Cette minceur est une affaire d’homogénéité, de vêtements cabine, je ne pense pas que ça soit artistique ou psychologique ou choisi. La minceur, c’est la jeunesse et c’est vrai que certaines jeunes filles sont prépubères sur les podiums, c’est pour ça qu’elles paraissent si minces… (…) Moi, j’ai commencé à 19 ans. Je n’aimerais pas que ma fille fasse ce métier à 15 ans. Si elle me le demandait, j’essayerais qu’elle attende sa majorité.”

Pour être au top avant sa tournée, Carla avoue se changer les idées en regardant The Voice. Pas question pour autant pour elle d’avoir été tentée par la place de juré laissée vacante par son ami Louis Bertignac. «Je serais incapable de faire ça: je suis nulle en jugement, explique-t-elle. (…) Personnellement, je ne vois pas comment je jugerais qui. J’ai des sentiments personnels mais je n’aime pas la position de juge. Ce n’est pas ma came. Je suis artiste, ce n’est pas mon rôle. Je trouve que dans The Voice, ce sont des professionnels qui jugent avec beaucoup d’amour. Je regarde ce genre d’émission mais au moment où ils doivent trancher entre les candidats, j’arrête de regarder.»

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *