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Après Catherine Deneuve, une autre grande star du cinéma vend sa garde-robe aux enchères

Claudia Cardinale a décidé de mettre aux enchères une partie de sa garde-robe, dont plusieurs tenues portées dans ses films. A 81 ans, cette amatrice de mode se sépare de quelques-unes de ses plus belles robes, tailleurs, manteaux et autres pièces qui mettent la haute couture italienne à l’honneur.

Catherine Deneuve s’est séparée de 300 pièces du créateur Yves Saint-Laurent lors de la dernière fashion week. Vivement critiquée, ce fut pourtant pour elle une manière de tourner la page, dix ans après la mort de l’illustre couturier qu’elle admire tant. La vente aux enchères, organisée par Christie’s, a rapporté 900 000 euros. Une autre actrice française de renom a décidé d’en faire de même. Claudia Cardinale va mettre aux enchères une partie de sa garde-robe, dont plusieurs tenues portées dans des films.

A 81 ans, elle s’est illustrée dans de nombreuses productions, aujourd’hui références du cinéma, à commencer par Il était une fois dans l’Ouest. 130 lots, robes, tailleurs et manteaux, de jour et du soir de l’actrice mise à l’honneur aux festival de Cannes encore en 2017 seront soumis aux enchères uniquement sur le site internet de Sotheby’s du 28 juin au 9 juillet. Ils feront également l’objet d’une exposition, en accès libre du 2 au 4 juillet, dans les salons parisiens de la maison de vente. “Si l’on connaît l’icône glamour des années 1960 et l’actrice internationale au palmarès cinématographique éclatant, on connaît moins l’amatrice de mode. C’est ce jardin secret qui nous est dévoilé aujourd’hui”, se félicite Sotheby’s.

Il y a des pièces qui attirent déjà plus de convoitises que d’autres. Le fourreau haute couture recouvert de sequins noirs et bordé de fleurs par Nina Ricci, que Claudia Cardinale portait lors de la cérémonie des Oscars en 1965, au côté de Steve McQueen, est très attendue par exemple. La pièce est estimée entre 6000 et 8000 euros. Outre Nina Ricci, de nombreuses autres maisons seront représentées : Emilio Schuberth, Roberto Capucci, Irene Galitzine, ou encore Barocco et Balestra. Autant de noms aux consonances venues de l’autre côté des Alpes, car “ces lots constituent un hommage à la mode italienne de la fin des années 1950 au début des années 1980, explique Sotheby’s, époque pendant laquelle Paris n’a plus le monopole du style et où les couturiers italiens commencent à s’affirmer”.

Crédits photos : Bestimage

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